Julie s’offre bondagée hélas.....

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il y a 4 ans

Julie était une de ces filles qui fait tourner les têtes, où qu'elle soit, quoi qu'elle porte. En premier lieu, une blonde naturelle. Oui, c'était le mot, "naturelle." Aucune aide chimique, même si quelques heures au soleil la faisait passer de " blonde " à " or brillant ". Plus ce super sourire. Ce sourire toujours présent.

Et, comme un ami le lui avait dit une fois, un corps " à mourir ". Encore une fois, entièrement naturel, quoique les heures sur l'appareil de musculation, quand elle ne courait pas dans le parc, aidait toujours.

Vous ne pouviez pas dire qu'elle avait maintenant 30 ans et avait déjà mis au jour son premier e n f a n t un peu moins d'un an avant. Aucune marque de cette période sur cette fille. Pas de signes de vieillissements, du moins pas encore dans ce qui, elle le savait, deviendrait tôt ou tard une bataille perdue avec la nature et le temps.

Et leste, agile, capable de se plier dans presque toutes les positions. Son époux aimait cela, l'aptitude à mettre son corps dans la position qu'il choisissait, du point culminant de leurs rapports, de la fin de son a d o l e s c e n c e jusqu'à six mois avant la naissance d'Angela. Mais c'est à ce moment là qu'il avait arrêté, quand elle avait découvert sa grossesse. Il semblait qu'à ce moment Larry ait perdu tout intérêt pour elle, quand son corps à " tomber raide m o r t " avait commencé à montrer des signes de cette grossesse imprévue, et son intérêt n'avait jamais repris.

Mêmes dans les mois après la naissance d'Angela, quand Julie travaillait dur, presque chaque jour, pour regagner l'aspect qui l'avait mis une fois en couverture d'un magazine dans tout le pays, Larry semblait avoir perdu son intérêt sexuel.

C'était six mois auparavant qu'elle avait enfin obtenu la réponse : la découverte d'un magazine, d'une vidéo et d'un site web. Le magazine et la vidéo étaient dans le garage ; elle les avait trouvés en cherchant de vieilles décorations de Noël. Le site web, elle l'avait découvert en utilisant l'ordinateur de Larry, celui de son bureau et non celui " de la maison ". Elle avait été capable de laisser de côté le magazine et la vidéo, mais le site web, avec toutes les photos et histoires, avait plus marqué son esprit.

Bondage. C'est ainsi que cela s'appelait. Et d'autres mots : Demoiselles en détresse. Un site web de femmes, de jeunes femmes, attachées dans presque toutes les positions imaginables. Attachées étroitement. "Attachée inéluctablement," disait le site web. Parfois avec des vêtements, d'autres fois presque nues. Et les histoires, chacune racontait l'histoire d'une femme qui trouvait son plaisir dans le bondage. C'est là qu'allait l'intérêt de Larry, pendant qu'elle portait Angela.

Certaines femmes auraient été choquées, certaines dégoûtées, d'autres auraient pris un rendez-vous avec un avocat pour divorcer. Mais Julie était déterminée à comprendre. Elle savait que Larry était un homme affectueux. Si cela l'intéressait alors il devait y avoir quelque chose d'érotique. Cela devait être quelque chose qui l'excitait. Et elle découvrirait si cela l'excitait-elle aussi.

C'était ainsi que cela avait commencé, six mois auparavant. Son but unique était de raviver l'entente érotique de leur mariage. Et elle était ici aujourd'hui, avec du temps pour penser à tout cela, agenouillée devant la cheminée de leur maison, à attendre que Larry franchisse le pas de la porte.

Pas seulement agenouillée, mais attachée, bâillonnée et agenouillée. Et secouée, frémissante, des orgasmes déchirant continuellement son corps. Et alors que son corps frémissait, sa longue chevelure blonde volait en l'air.

Elle pensait qu'elle était ainsi depuis au moins deux heures. Agenouillée, sur la carpette devant le foyer, les chevilles et les cuisses attachées, et les jambes tirées en haut jusqu'à ce que ses talons touchent ses fesses, attachée étroitement. Entre ses jambes il y avait un vibrateur, au moins 15 centimètres de long, pressé contre la partie la plus sensible de son corps, le tout tenu en place par plusieurs tours de corde blanche.

C'était le vibrateur qui était à l'origine du problème, amenant son corps à l'orgasme, puis un autre, et encore un autre. Mais à chaque orgasme, elle devait faire attention à ne pas tomber. Ses mains étaient attachées, paumes l'une contre l'autre. Un autre morceau impitoyable de corde blanche lui tenait les coudes serrés ensembles, tirés vers l'arrière, la f o r ç a n t à se courber. Et une autre corde partait de ses poignets jusqu'au crochet qu'elle venait d'installer au plafond.

Pour certaines personnes cela aurait été assez. Mais apparemment pas pour Julie. Dans la bouche avait été f o r c é e une balle de caoutchouc rouge - un ballgag, ainsi qu'elle avait appris que cela s'appelait - le plus grand ballgag qu'elle ait trouvé. Elle avait du étirer sa bouche au maximum pour l'insérer. La lanière permettant de le retenir dans la bouche n'était même pas nécessaire…

Puis, il y avait une pincée de douleur, les pinces sur ses mamelons. Avant qu'ils aient été mis en place, ses mamelons s'étaient dressés, durs, droits, excités par cette expérience de bondage. Au fur et à mesure que le bondage avançait, elle s'était sentie de plus en plus intéressée par l'expérience, sentant une faiblesse entre ses jambes et ses seins réclamant d'être touchés. Des mamelons droits, durs sur une poitrine parfaite.

A ce dernier moment son esprit cria, et sa bouche essaya de crier, le son était bloqué bien sûr par la grande, sphère rouge dans sa bouche. Les pinces, appliquées une à une, pinçaient fortement les mamelons. Mais, non, ce n'était pas assez. Elle avait ajouté à la chaîne entre les pinces un grand cadenas, la sorte de cadenas qu'on emploierait pour cadenasser la porte d'un hangar d'arrière-cour. Le genre que personne ne pourrait ignorer, grand, et lourd. Il pendait sur la chaîne, tirant sur les pinces, et se balançant avec chaque frémissement de son corps.

Combien de temps ? Deux heures ? Peut-être plus ? Son corps était déjà couvert de transpiration ; ses cuisses étaient trempées par l'humidité croissante entre ses jambes. Ses bras la faisait souffrir, à la fois à cause du bondage et de la position, position appelée " strapado " pensa t'elle.

Au moins Angela n'était pas dans la maison, il y avait aucune crainte d'elle ne rampant dans la maison. Julie avait préparé cela, et laissé sa fille à sa mère pour le week-end.

Aussi elle s'était agenouillée, attendant que Larry rentre. Attendant … Espérant …

Attendant … Espérant …

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Attendant … Espérant …

Fiction par Robert Deane (traduit de l'anglais)

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Oh que c'est mignon ça, s'offrir en cadeau via un selfbondage et, à la fin du récit jouer sur Attendant … Espérant …
Je confirme, c'est même très mignon. Merci beaucoup du partage.
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